La porte sacrée

Poème inspiré d’une oeuvre de Michaël Clementz La porte sacrée, l’ouvrage de l’âme, étrange silence d’éternité qui déverse ses cordages de lamentations, Si elle ne demeure pas en ce lieu, alors aucun amour n’a pu y avoir lieu.   Il me regarde, me dévisage ce grand et féroce sage, qu’en est- il de cet abri où il me mène sans merci.   Soulevant ses bras comme deux ailes immenses Dans la plus parfaite harmonie, en cet endroit vénéré des elfes et des sorciers, dévoilant son corps sculpté, par le temps arrêté.   Le vent, la pluie, n’ont rien ôté à son entité, à sa force, bien au contraire ! ils  ont dessiné des sillons sur son visage et ont parcouru ses veines de sève et d’ herbes sauvages.   Il se veut ouvrir les ailes toutes  grandes pour elle, qui intriguée par tant d’étrangeté, se résout à fermer violemment les yeux comme signe de rejet envers son incroyable Dieu!   Dieu de la Forêt, Qui accueille en son lit les coeurs meurtris, dont il aspire le venin, à la tombée de la nuit Afin d’en retirer les peines et chagrins, Et  leur donner en retour, le bonheur et la croyance perdue en  l’amour .

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