Osmose Toi seul habite ce tabernacle Toi seul abrite mon cœur Il n’y a de mesure Que dans le mesurable Et le temps n’y a nulle ampleur Lovée contre toi Je mesure l’important nulle maison, aucun jardin Même pas le soleil couchant Et le vertige se dissipe comme l’eau de pluie En un royaume du monde de l’interdit
